samedi 14 novembre 2020

Mascarade !

Dans notre société occidentale et nos cultures, une mascarade est une sorte de défilé de personnes déguisées et masquées.
Nous vivons actuellement une mascarade au sens propre du terme : nous défilons dans la rue, masqués et déguisés, par obligation, par une instance officielle…
Mais une mascarade, ça peut être aussi une situation parodique et hypocrite, une sorte de mise en scène qui cherche à tromper, qui est fallacieuse. Un sophisme presque. En tout cas, un sophisme si cette mascarade est animée de mauvaises intentions…
Lisez, si vous en avez l’occasion, le roman de Luce Thoumin, écrit en 2009 intitulé "Prouix" et publié chez Praelgo, une histoire autour des masques et du masque, celui de nous tous, de notre société, de notre devenir (que je n’espère pas…). J’avais à l’époque bien apprécié ce roman.

En tant qu’herboriste, mais avant en tant que biologiste, je me dois de dire que le masque, mis devant la bouche et le nez est un obstacle à notre besoin le plus élémentaire : celui de respirer… Que celui qui viendra me dire que le masque n’empêche pas de respirer aille voir à cette page : https://guyboulianne.com/2020/09/13/jai-recu-le-dossier-complet-sur-la-nocivite-des-valeurs-de-co2-sous-les-masques-fourni-par-ling-dr-helmut-traindl-expert-assermente/

 
Un peu de bon sens, voyons, ce bon sens qu’on a perdu !


⦁    Avec un masque, à chaque inspiration, on renvoie une faible partie de l’air expiré dans ses poumons. On augmente ainsi insidieusement et dangereusement le taux de gaz carbonique dans notre corps.
⦁    par voie de conséquence, la quantité d’oxygène est plus faible et on absorbe donc moins de cet oxygène au niveau du sang… les conséquences peuvent se faire sentir à plusieurs niveaux :
⦁    sur le système neveux autonome qui bien évidemment surveille automatiquement ce taux d’oxygène, et augmente si besoin la ventilation pulmonaire par une action sur le diaphragme. L’hyperventilation va amplifier le phénomène si le masque est maintenu très près de la bouche et du nez.
⦁    Sur le système du stress qui peut ainsi provoquer involontairement une réponse de type angoisse, oppression, asthme…
⦁    Un grand nombre de microparticules, que ce soit des particules biologiques issues de notre corps ou venant de l’extérieur comme la pollution, vont être réabsorbées… Imaginez ce qui se passe quand on remet son masque aussitôt après avoir fumé une cigarette !
⦁    Au bout d’un certain temps, le masque est porteur de toute une population de bactéries, elle-même devenant un foyer potentiellement infectieux.
⦁    Inversement au phénomène bactérien, on sait que ce type de masque en tissu ou dit « chirurgical » n’a aucun effet préventif contre les virus, car ils sont tellement petits qu’ils sont emportés par l’air expié à travers le masque. Au mieux, on limite leur portée… seul argument valable devant un risque viral.

Avec ce confinement, on en vient à vivre une drôle de situation, où le port du masque est donc la norme et le fait de ne pas en porter est illégal…


Quand vous dialoguez avec quelqu’un de masqué, pas moyen de « lire sur les lèvres » le subtil de l’échange. Et pourtant, c’est parfois fort important. Comment font aujourd’hui les malentendants ?
Plus grave, j’ai ouï-dire que même dans des maternités, les femmes en plein accouchement seraient obligé de porter le masque !
Enfin, je ne peux pas m’empêcher de vous rappeler cette séquence… Si, si, j’ose… Finalement, de mascarade, on passe au mascara, un simple maquillage. Mais on veut cacher quoi sous ce maquillage ? quel message ? quel non-dit ?

https://www.youtube.com/watch?v=CUbOrp2-tJA

allez voir à partir de 9‘48‘’. Ça dure moins d’une minute… Moi, ça me fait réfléchir un peu plus qu’une minute…





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