jeudi 14 octobre 2021

Vous reprendrez bien une troisième dose ?

 

Évidemment, un titre cynique et humoristique donne toujours davantage envie de cliquer… Pourtant, je vais aller ici à l’essentiel :
  1. D’abord vous apporter mon témoignage sur le Covid que j’ai développé ce mois de septembre dernier et comment j’ai réagi pour me remettre au plus vite, et surtout au mieux, de cette contagion « OGM ».
  2. Quelques liens pour ceux qui voudraient aller plus loin… et qui ne s’arrêteront pas à la sempiternelle phrase « mais c’est du complotisme ça… ». Je l’ai déjà dit et je le redis, je ne suis pas complotiste, je suis languedevipèriste.
  3. Mon opinion à propos des vertus des aiguilles de Pin sylvestre et ce que je pense qu’il faut faire face à la protéine Spike.

 

1. Mon témoignage personnel face à un Covid

Ma compagne a participé à une réunion avec d’autres personnes début septembre. Dès le surlendemain, elle s’est sentie fatiguée, et le soir, elle me dit qu’elle pense avoir de la fièvre, ce que je confirme en lui touchant le front.

Au lendemain, ma femme me confirme qu’elle a certainement attrapé le Covid, et pour ma part, je lui confirme ses soupçons, ayant passé une mauvaise nuit avec des cauchemars non habituels, que j’ai déjà eu par quatre phases depuis deux ans. J’avais déjà par le passé mis sur le dos de ce coronavirus ces troubles nerveux. Durant quatre jours, ma femme développe une fièvre et de la fatigue, mais surtout des courbatures au point de prendre à heures régulières du Doliprane pour « tenir le coup ».

Pour moi, à ma grande surprise, ce n’est qu’au bout de ces quatre jours que la fièvre s’installe un soir, au coucher.Le lendemain, la fatigue est là et l’impossibilité d’aller travailler aussi. Je décide donc de jeûner pour une durée indéterminée. La seule consommation sera de l’eau et des infusions d’Artémisia. J’ai eu de la fièvre durant trois jours et trois nuits. La seconde nuit, ayant bu beaucoup avant, et m’étant couvert d’une épaisse couverture, j’ai abondamment transpiré. Mais au réveil le matin suivant, fièvre et fatigue sont toujours là. Complétées par des courbatures épuisantes dans le bas du dos. J’ai arrêté mon jeune au 4e jour, voyant que la fièvre avait disparu.

Dans la semaine qui a suivi, la caractéristique principale à noter était une fatigue très forte, des courbatures et surtout une insuffisance respiratoire qui m’empêchait de pouvoir faire tout effort physique, même léger. Je suis donc resté à me reposer, les premiers jours à dormir la plupart du temps… Écouter de la musique ou bouquiner était trop fatigant !

J’ai eu l’impression de voir une remontée de mon énergie de façon très lente, et je dirais que sur une échelle de valeur, je regagnais chaque jour 5 % de plus que par rapport à la veille. A l’heure où j’écris ces lignes, soit trois semaines après le jour d’apparition de la fièvre, je dirais que je suis à 50 % de ma forme habituelle.

Comment je me suis soigné ?

En plus du jeûne, action numéro un contre cette contagion « OGM », j’ai pensé à bien boire pour accompagner mes émonctoires et drainer mon organisme des déchets produits par l’activité immunitaire. Chaque jour j’ai bu au moins ½ litre d’infusion d’artémisia, que je fais pousser au jardin. Dans la mesure du possible, l’objectif était d’un litre. J’ai complété l’infusion avec de la racine d’aunée.

J’ai utilisé du ravintsara en application sur toute la colonne vertébrale chaque soir où la fièvre était là. J’ai utilisé au moins 5 ml par soir, étalés sur la colonne vertébrale.

La maitrise de la reprise alimentaire a été très facile, puisque j’avais très peu faim. J’ai surtout consommé des légumes feuilles cuits sous forme de soupe (feuilles d’ortie, de poireaux, de blettes) et des raisins pendant les premiers jours. A la fin de la semaine, j’avais repris une alimentation végétarienne complète, mais les rations étaient diminuées de moitié par rapport à un rythme habituel, l’appétit n’étant pas au rendez-vous. J’ai ainsi surtout consommé des carottes râpées, des légumes variés, des céréales, et des soupes de courgettes le soir.

J’ai complété mon alimentation avec des compléments alimentaires :

-       De l’extrait hydroalcoolique d’aiguilles de pin sylvestre que nous commercialisons à Natura Mundi. J’ai triplé les doses recommandées

-       Du « So-Pycnogénol respir » la première semaine, puis du « So-Pycnogénol cardio » la troisième semaine.

-       De l’astaxanthine les semaines 1 et 2 (deux capsules par jour)

-       Du chardon Marie les semaines 1 et 2 (une capsule à chaque repas, soit trois fois par jour)

J’ai essayé de prendre de la rhodiola par deux fois, mais je n’ai ressenti aucun effet probant. J’en ai déduit que mon organisme avait besoin d’autre chose…

En fait, avec un peu de recul, je pense que c’est d’abord mon alimentation basée sur des fibres végétales et des crudités complétées d’huiles riches en AGE qui m’auront fait le plus de bien, combiné à la mise au repos de mon organisme. J’ai évité le plus longtemps possible les fromages, les protéines fortes (soja, œufs), mais j’ai complété dès la première semaine de reprise alimentaire avec de la spiruline (3 grammes par jour).

A aujourd’hui, je dirais que j’ai repris le rythme quotidien, mais avec un entrain différent, une sorte d’état second où je ressens les choses de façon plus calme. Je pense que le virus, et surtout la protéine spike ont altéré les équilibres neurologiques et surtout les subtils échanges entre neurotransmetteurs. C’est, à mon humble avis, un élément essentiel d’appréciation de la présence du virus dans l’organisme.

Pourquoi, alors que par le passé, depuis l’hiver 2019-2020 jusqu’à maintenant, j’ai senti par quatre fois ces agressions virales, ai-je développé une forme grippale plus conséquente ? Mystère… D’autant qu’à la veille de cette phase virale, j’aurais qualifié mon état de santé d’excellent… Je pense que mon rythme de travail sera revenu à la normale d’ici 15 jours…Je suis preneur de vos témoignages si vous en avez aussi dans la mesure où ils peuvent enrichir notre compréhension des méfaits de ce virus et de sa protéine spike…

 

2. Des liens que je vous recommande :

Bien sûr, l’inévitable site que tout le monde devrait consulter régulièrement :

https://reinfocovid.fr/

mais aussi un « vrai » média que je consulte aussi souvent que j’en ai le temps :

https://www.francesoir.fr/

dernièrement, j’ai relevé cet article que j’ai trouvé passionnant :

https://reseauinternational.net/le-seigneur-des-vaccins/

en plein dans l’actualité, l’association bonsens.org a écrit aux sénatrices et sénateurs. Leur lettre est ici : https://bonsens.info/lettre-aux-senatrices-et-senateurs/ Elle vaut son pesant de cacahuètes, car elle est très claire, dépourvue de toute approche passionnelle. Elle est objective… Si… si… !!!

 

3. Mon opinion à propos de la protéine spike :

Vous avez certainement entendu des propos alarmants sur les méfaits de cette protéine, de la présence de graphène dans les injections qu’on nous propose à tour de bras, et même des liens avec la 5G, etc… Pour moi, que la protéine spike soit toxique, créée de la main de l’homme et fasse les caractéristiques essentielles de la pathogénicité du virus SARS-Cov 19, ne fait aucun doute… Et donc, se laisser injecter directement dans son sang un produit élaboré par manipulation génétique, reproduisant et « photocopiant » cette protéine, affublé du mot de vaccin, est pure folie ! Enfin, dire qu’après il suffit de prendre de l’extrait hydroalcoolique d’aiguilles de pin sylvestre pour que tout aille bien alors qu’on s’est fait vacciner, est une gageure !

Et pourtant, vous avez lu ci-dessus dans mon témoignage que j’ai consommé de l’extrait hydroalcoolique d’aiguilles de pin sylvestre… Où est donc l’erreur ? Je pense que l’organisme humain a des moyens, mais qui restent très relatifs, de lutter contre cette protéine… Et que ces moyens sont proportionnellement liés à sa capacité à maitriser et subjuguer un terrain inflammatoire morbide potentiel. En d’autres termes, c’est sa réserve et sa richesse en anti-oxydants qui peut faire la différence. L’extrait hydroalcoolique d’aiguilles de pin sylvestre, présenté comme riche anti-oxydants, est peut-être un élément dans le panel des anti-oxydants. Dire qu’il est essentiel ou accessoire, je n’en sais rien. Mais dans le doute, une chose est sûre : c’est qu’il ne peut faire que du bien à un moment où les organes les plus concernés sont justement les voies respiratoires.

Donc, oui aux aiguilles de Pin, non à une illusoire croyance que c’est une panacée…

Finalement, je tablerais davantage, pour une personne qui attend des « miracles » de ce produit, à une correction alimentaire conséquente, à la pratique de jeûnes courts répétés et aux conseils compilés ici : https://reinfocovid.fr/science/peut-on-se-donner-plus-de-moyens-pour-resister-aux-virus/ . Et j’ajouterais que la prise de compléments alimentaires apportant des antioxydants est effectivement primordiale, d’autant plus qu’on avance en âge : je recommanderais, d’une façon générale, par ordre d’importance et parmi ce que je connais, les suivants :

-       L’astaxanthine,

-       Le pycnogénol (et notamment le So-pycnogenol respir, et le So-pycnogenol cardio),

-       L’EHA d’aiguilles de Pin sylvestre

-       Le Co-Capmarin

Qu’il faut compléter avec :

-       Des infusions d’Artémisia annua, si vous avez accès à cette plante. Des graines peuvent être demandées gratuitement à Natura-Mundi.

-       Des tisanes de plantes aux vertus protectrices du foie, et des poumons (tisane hépatique, tisane voies respiratoires). On peut d’ailleurs associer des plantes aux vertus protectrices du foie et contenant des antioxydants : Astragale et Schizandra, par exemple, en alternance une semaine sur deux l’une, puis l’autre.

-       Des probiotiques, avec parcimonie et en alternant les sources (éviter de toujours consommer le même complément alimentaire).

 

Au final, Hippocrate avait raison quand il disait : « que ton aliment soit ton premier remède ». À cette époque, on était avare de mots inutiles. Aujourd’hui, si Hippocrate était parmi nous, il rajouterait sans souci « et que les autres thérapies naturelles ne soient donc utilisées qu’ensuite ». Qu’on se le dise…Covid ou pas…

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